SEC 2004 : huitres, moules, palourdes... l'été des crustacés
Venu en vacances avec 12 millésimes de chez Philippe, le sec 2004 se retrouve être en grande forme, minéral, d'une grande fraîcheur. Nez discret aux notes de pommes acidulées, de tilleul, et de fleurs blanches (fleur de sureau). Bouche d'une grande tenue, nerveuse et subtil.
SEC 2002 : Vin immense, malgré un nez un peu fermé, mais une bouche d'une grande complexité.
J'adore et je recommande vivement.
Demi-sec 2003 : Nez confit, fleur blanche, citron confit, amande fraîche. Manque un peu d'acidité mais la finale épicée apporte une belle complexité à la bouche.
Moelleux 2003 : totalement fermé, on en boit un verre, puis au frais jusqu'au lendemain midi pour l'apéro. Il est alors plus ouvert, marmelande d'orange, coing, mirabelle bien mûre. Cependant la bouche reste stricte, sucrosité marquée. A attendre
Moelleux Reserve 1989: Goûté cet hiver au bord d'une cheminée, cette fois nous le dégustons au bord de la plage, glacé. Grande bouteille, nez ultra complexe, j'annonce à nouveau les mêmes notes qu'il y a 6 mois, puis de nouvelles : dattes, encens, tabac blond, truffe blanche, pamplemousse rose, ...
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