Il fait froid, brume avec visibilité réduite à 10 m, ces quelques jours en Bourgogne n'en restent pas moins merveilleux.
Un séjour masculin, ponctué de grandes tables, grandes dégustations, grands vignerons...
Commencer la journée à 11 h avec une dégustation chez Cécile Tremblay est un excellent souvenir, des 2010 en barrique d'anthologie. Je garde un souvenir ému du Vosne Romanée 1er Cru les Rouges du dessus 2009 pour son caractère sanguin, ses notes de fleurs piquantes, une classe et une énergie folle.
Le chambertin 2008 bu ensuite dans un restaurant de la place de Beaune me réconcilie avec les vins de Rousseau. Nous pourrions évoquer un sacrilège au regard du jeune âge de ce flacon, je n'ai aucun regret car la bouteille représentait le top de la Bourgogne.
Le soir au restaurant Lameloise, le chef Éric Pras nous sort une cuisine extraordinaire. Nous dégustons à table un champagne Jacquesson 2002, un clos 2001 de Dauvissat, un Meursault Genevriere 2007 des Comte Lafon et un Morey Saint Denis, 1er Cru Clos Sorbe de chez Duband 2009
Seul le vin de Duband nous déçoit avec une réduction marquée, pourtant j'aime beaucoup ce domaine habituellement.
Seul le vin de Duband nous déçoit avec une réduction marquée, pourtant j'aime beaucoup ce domaine habituellement.
Le lendemain matin nous visitons le Domaine des Lambrays, les 4 derniers millésimes sont dégustés, j'ai adoré le 2008. J'en profite pour acheter également du Puligny Montrachet 1er Cru Les Folatières 2008 et 2009, j'aime le style et son coté exotique.
Puis nous passons au Domaine de la Romanée Conti, pour charger les allocations du millésime 2008.
Le déjeuner est arrosé de vins de Morey et Chambolle les Cras de chez Roumier dans un restaurant totalement rénové de Chambolle. Je n'aime pas trop les vins de chez Roumier habituellement, ce midi cela se confirme malheureusement.
Dégustation l'après midi au Domaine Bertheau et chez Mugnier, avec des Bonnes Mares de ces 2 maisons grandioses.
Le soir nous dormons à l'hostellerie de Levernois et découvrons la table.
Moins fin que la veille, le repas n'en reste pas moins un bon moment de gastronomie.
Nous buvons un Puligny les pucelles 2007 de chez Leflaive, un Meursault Cailleret 2001 de Coche Dury et un Morey VV de chez Cécile Tremblay.
Moins fin que la veille, le repas n'en reste pas moins un bon moment de gastronomie.
Nous buvons un Puligny les pucelles 2007 de chez Leflaive, un Meursault Cailleret 2001 de Coche Dury et un Morey VV de chez Cécile Tremblay.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire