12 novembre 2008

Bouteilles trouvées

Quelques bouteilles dégustées avec plaisir :

le Morey Saint Denis VV 2003 de chez Lignier : vin sublime, dommage que cela soit la dernière bouteille.

Canon Fronsac, Paul Barre 2006: cuvée de merlot élégante et digeste.

Les Clos 1990, Domaine W. Fevre: évoluée avec un belle tenue, très typé chablis.

Bourgogne VV 2006, Domaine Olivier Guyot : Vin de fruit au plaisir immédiat.

Nuits Saint Georges, Clos des Corvées 1996, Domaine Prieure Roch : un vin qui communique une énergie sauvage dans la finesse, caressant, sensuel, d'une classe folle à boire en ce moment. Ce vin a toujours été l'un de mes coups de cœur et il le reste.

La fin d'une maison


Un grand repas pour clôturer cette maison,

un champagne, une cuvée Bollinger 1999, encore trop jeune mais déjà délicieux.

De grosses langoustines et un homard breton grillé au beurre, vont faire de superbes accords avec les trois blancs;
une cuvée pure sang 2002: un vin frais très agrumes mais décevant, probablement en fermeture.
une cuvée de Meursault Les Tillets 2006 de chez Roulot: une petite déception trop jeune.
un Meursault Charmes 2000 des Comtes Lafon: parfait expression du chardonnay minéral et à la fois grillé, végetal noble : pin, anis.

Trois rouges vont suivre avec un lapin aux oignons confits et aux frites. Un plat de famille un peu lourd mais historique du repas dominical. Les frites prennent le jus de cuisson, tout simplement délicieux.

Les accords ne sont pas parfaits mais tant pis nous profitons du plaisir du moment:
Un Grand Echezeaux 1996 du DRC et un clos Vougeot 1996 du Domaine Prieure Roch jouent dans l'univers du sensuel, finesse des textures, c'est très bon. Le Cheval Blanc 1983 rivalise mieux avec le plat, il accepte mieux le gras et la puissance de l'oignon, un très beau vin.

2 autres bouteilles ouvertes ce soir: un poyeux des frères Foucault 2002 et un Montrose 1994.

07 septembre 2008

Repas - Dégustation Vins à Orléans

TARIF : 520 Euros TTC
DATE à déterminer COMPLET10 personnes

Une dégustation comme on les aime, marquée par des flacons exceptionnels.

- Krug Collection 1981 en Magnum.

- Riesling, Clos Saint Hune, Trimbach 1983 et 1979.









- Pauillac, Château Latour 1947, une bouteille au niveau parfait et reconditionnée au Château en 1988.

- Domaine de La Romanée Conti, La Tâche 1989.- Saint Emilion,Château Cheval Blanc 1982.

- Château-Chalon, Jean Macle 1983

- Barsac, Château Climens 1967

01 septembre 2008

Vacances 2008



Morgon Lapierre 2007, naturel en un seul mot mais léger.

Sancerre Vacheron 2006, fraîcheur et acidité combinée.

Château Tour Grise, Saumur 2002, une découverte au chenin frais et complexe.

Domaine Saint Nicolas, Les Clous 2006, une cuvée simple manquant de profondeur.

Domaine Jo Pithon, Les Blanches Bergères 2006, j'aime bien malgré le boisé et la malo.

20 juillet 2008

Echezeaux 2005, Domaine de la Romanée Conti




Grande bouteille, digeste, subtile, une bouteille que l'on ne regrette pas d'ouvrir afin d'attendre les autres terroirs 10 ans.

19 juillet 2008

Commentaires repas dégustation


Enivrement, exaltation, détente pour une soirée dégustation exceptionnelle.


Une série sublime de vins tous servis à table avec des mets simples : langoustines grillées au beurre de curry, jambon persillé et côte de bœuf au feu de bois.

Deux champagnes d’introduction, un Brut Ruinart très apéritif mais un peu dosé et un Avize 1976 de Fallet Prevostat sur des notes oxydatives nobles, avec une fraîcheur encore présente.


Les 2 blancs qui suivent s’opposent : le Chablis Grand Valmur 1990 de chez Raveneau affiche une fraîcheur étonnante pour le millésime, superbe bouteille. Quant au Pape Clément 1992 avec des notes encore très vanilles affiche une bouche d’une grande matière, il déroute mais retient l’attention.


Les 3 rouges qui vont suivre sont des Bourgognes 2005 accompagnés par le jambon :

Le Chassagne Montrachet 2005 de chez Ramonet est un grand générique dans une petite appellation avec des notes de roses poivrées.

L’Echezeaux 2005 de chez Confuron-Gindre est plus stricte avec une certaine rigidité, une bouteille à découvrir dans 15 ans.

L’Echezeaux 2005 du Domaine de La Romanée Conti surprend par sa subtilité, une bombe de sensualité, étonnante pour un millésime si riche, un vin génial.


La côte de Bœuf sera accompagnée de trois Bordeaux :

Un Château Lafite 1999, fin et délicieux à boire en ce moment.

Un Château Carbonnieux 1975, un peu fatigué.

Un Château Brane Cantenac 1949 avec des notes de morilles fraîches et de cuir, un flacon collection qui mérite une belle note.


Le dessert va être escorté par un grand Sauternes, le Château La Tour Blanche 2001 et 1947 :

Le 2001 est exceptionnel avec son nez d’agrumes confits et de tarte au citron et son acidité tranchante.

Le 1947 lui donne la réponse avec son nez de caramel au lait, ils rivalisent de fraîcheur.


Enfin pour finir, Vouvray l’emporte-t-il contre Sauternes ? Pourquoi vouloir comparer des vins incomparables ? Pour le plaisir de boire un Huet, Haut Lieu 1947 et finir en apothéose.

Les photos : grande dégustation vins rares















La Tour Blanche 2001 et 1947






07 juillet 2008

Le mois de juin

Domaine Confuron-Gindre, Vosne-Romanée 1er Cru, Les Brulées 2005. Une découverte issue d'une lecture du magazine la Bourgogne Aujourd'hui lors d'un voyage en 2007 pour aller chercher l'allocation du Domaine de la Romanée Conti. Les vins m'avaient beaucoup enthousiasmé en dégustation au domaine, redécouvrir une cuvée aujourd'hui confirme mes bonnes impressions. Un superbe rapport Qualité/Prix.


Domaine V. Pinard, Sancerre, Charlouise 2000. Le vin a totalement absorbé son élevage et se révèle d'une grande finesse. A boire et c'est délicieux.





Jeff Carrel, Morillon blanc 2005, Vin de pays de l'Aude 100 % Chardonnay dans un style oxydatif. Déséquilibré, marqué par l'alcool et différentes notes chaudes (caramel, raisins secs...). Je n'aime pas !!!




Une série de trois vins blancs délicieux: L'Anjou, les Fourchades 2001 de Marc Angeli offre un petit nez mais une très grande matière en bouche avec de l'équilibre.

Le Haut Lieu 1ère Trie 1990 de chez Huet est un atypique avec une robe de 59, un nez de 47 et une fraîcheur de 90, qu'il est. A boire, car son évolution me semble néanmoins prononcée.

Enfin, le Chablis Rosette 2004 d'Alice et Olivier de Moor affiche une nez crémeux et grillé digne des grands chablis. Une très belle réussite.

23 juin 2008

Prochain dîner le 12 septembre 2008 à Orléans

Le 04/07/2008 : COMPLET

Il reste 2 places sur un total de 8
Tarifs : 370 Euros /pers

Les vins dégustés + repas

Champagne, Jacquesson 1996
Champagne, Krug 1988
Bourgogne Blanc, Bienvenue Batard Montrachet 2000, A. C. Leflaive
Bourgogne Blanc, Chevalier Montrachet 1990, Bouchard
Bourgogne Rouge, Vosne-Romanée, Les Beaumonts 1999, Leroy
Bourgogne Rouge, Grand Echezeaux 1990, Domaine de la Romanée Conti
Sauternes, Château Gilette 1967

Romanée Conti 2005



Un grand moment avec l'ouverture de la caisse du Domaine de la Romanée Conti 2005.



Avis de vin fort, Bourgueil Breton 2007: j'ai adoré ce vin sur le fruit, dégusté après une journée très ensoleillée.

http://www.domainebreton.net, pour commander

Domaine de l'Arbre Blanc: pinot noir d'Auvergne, produit par Fred Gounan, épicé très typé pinot bien mûr. Un excellent vin naturel.





La bohème, "vin naturel sans intervention vulgaire", produit en pays nantais sur un terroir de schiste.
Agréable avec un léger perlant.

07 juin 2008

Coups de coeur du mois de mai




Un Grand Echezeaux 2004, du Domaine de la Romanée conti, tout en dentelle en subtilité, digeste même s'il reste un peu jeune. Une grande bouteille à attendre avec patience.








Evolué, patiné, le Beaune Vigne de l'enfant Jésus 1996 de la maison Bouchard est à boire. Il développe des notes de cuir fin, des fruits à noyau bien mûrs. Très sensuel, d'une belle longueur en bouche. Un beau vin de gastronomie

18 mai 2008

Philippe Foreau 1945














Grande bouteille qui se passe de commentaires.
La couleur est superbe.

Dégustation vins de Provence

La dégustation nous a emmené vers des vins d’origine diverse, très typés et marqués par des conditions climatiques extrêmes. Souvent corsés et tanniques, les vins de cette région ne correspondent habituellement pas à mes goûts avec des notes animales trop prononcées, toutefois les vins peuvent trouver un équilibre subtil avec le vieillissement et la dégustation réalisée en témoigne.


Vin à la personnalité particulière, bordelais et provençal à la fois, le Domaine de Trévallon 1995 affiche le nez le plus noble de la soirée : des notes rôties, de truffe noire, de cassis. Soyeux et fin en bouche, sa finale reste cependant un peu courte.


Le Château Simone 2000 à la robe peu colorée joue avec beaucoup d’élégance sur sa finesse aromatique, fidèle à son style ce n’est pas un grand vin comme peut l’être la cuvée en blanc.


La série qui va suivre confirme le statut des grands vins de Bandol :


Le Château Pibarnon 2001 remarquable de puissance est trop riche pour le moment, seul son alcool et ses tannins dominent.


Le Pibarnon 1990 affiche une évolution superbe sur les fruits mûrs (pruneau, figues). Ample et moelleux en bouche, je pense qu’il a atteint son apogée.


Le Château Pradeaux 1985 est enfin ouvert ! goudron, tabac, fruits noirs ouvre le nez. La bouche est équilibrée, épicée et fraîche. Une bouteille très agréable


La cuvée du Domaine Tempier 1989 est une bouteille un peu usée, la robe est légèrement tuilée et le nez n’est pas totalement net.


10 avril 2008

Dégustation Alsace Riesling



Trimbach, Cuvée Fréderic Emile 2000 : fermé, austère, d’une grande tension en bouche mais dans une phase ingrate. Ce grand cru issu des terroirs de Geissberg et Osterberg est l’un de mes crus préférés de la région, il sort dans les derniers ce soir.
Zind Humbrecht, Riesling Grand Cru Rangen 2004 : superbe nez d’agrumes et de pierre chaude. L’équilibre est pur. Grande tenue en bouche
Josmeyer, Riesling Grand Cru Hengst 2002 : un style précis et puissant qui doit se fondre avec l’age, très salin en bouche.
Ostertag, Riesling Grand Cru Munchberg 2005 : ouvert, floral, une bouche pure et minérale. Sans faille.
Ostertag, Riesling Grand Cru Munchberg 1999 : une belle évolution sur des notes florales et miellées, agrumes, citron. Bouche en finesse.
Schlumberger, Riesling Grand Cru Kitterlé 1999 : premier vin marqué par la pierre et des notes hydrocarbures. Bouche un peu courte. En dessous de la moyenne des crus dégustés.
Weinbach, Riesling Grand Cru Schlossberg Sainte-Catherine 1994 : un grand vin, au nez moelleux, aérien, sur le coing et des notes pétrolées. Très profond.
Binner, Riesling Kaefferkopf 1996 : le 51ième Grand Cru en 2006, sol argilo granitique exposé à l’est, ce vin mérite son classement avec des notes de truffe blanche et de pierre. Superbe évolution.

09 avril 2008

Oeufs façon meurette

Œuf en meurette


Un plat que j’adore, traditionnel de nos brasseries.

Le choix du vin : je l’aime soit avec un cabernet franc un Saumur Champigny ou une cuvée du Rhône à dominante de Syrah.


Ma recette pour 2 personnes :

Dorer au beurre 4 tranches de pain brioché.

Faire cuire en fine lamelle des champignons de Paris et la poitrine de porc demi-sel découpée en lardons.

Faire cuire le vin environ 50 cl pendant 30 mn avec 1 ou 2 morceaux de sucre (ici le reste de 2 bouteilles : un Saint Joseph de chez Dard et Ribo et un Croze-Hermitage).


Plonger les 4 œufs dans le vin bouillant pendant 3 à 4 mn, les retirer avec une passoire et les poser sur les tranches de pain.


Pour la sauce, ajouter la farine et le beurre et mettre le vin de cuisson, faire épaissir légèrement la sauce, bien la poivrer.


Le plat est prêt.


Ce soir, j’ai terminé une bouteille de Grange des Pères dégustée à l’aveugle la veille. C’est très bon.

07 avril 2008

Orléans, Orléans, Orléans et la deuxième soirée découverte.


9 personnes (200 euros)

Comme d’habitude, deux grands flacons de Champagne vont ouvrir la soirée. La Cuvée Winston Churchill Blanc de Blancs 1990 de chez Pol Roger ouvre la soirée en puissance. Un flacon comme je les aime, avec de l’élégance, de la subtilité et une grande acidité. Le Clos des Goisses 1988 semble 10 ans de plus avec sa légère oxydation et son style très vineux. Personnellement, j’aime bien son évolution mais il serait plus beau à table.

1er plat

Nage de coquilles Saint Jacques au Sauternes et aux carottes (recette de Jacques Thorel, Auberge Bretonne)

Un plat qui renforce la douceur des noix de Saint Jacques dans un registre iodé et sucré.

Le Château Climens 2002 joue avec les agrumes avec une dominante de mandarine. La bouche est excitante, d’une grande douceur avec l’acidité recherchée pour fonctionner avec le plat. Superbe accord.

Le Vouvray, Réserve 1989 de Philippe Foreau est d’une complexité folle avec sa touche épicée, des notes de safran. Une acidité qui préserve beaucoup de fraîcheur à l’ensemble. Avec le plat, le vin présente une richesse en sucre trop imposante, il fonctionne bien mais domine cette entrée.

2ième plat

L’agneau de lait (épaule) avec sa croûte d’épices croustillantes (piment d’Espelette, ail, cumin en poudre) est une réussite. Il est accompagné d’un lit de pommes de terre.


Sur cette viande blanche, nous avons fait la découverte du Château Angelus 1990. Un vin fondu, poivré, truffé, d’une grande élégance, il confirme son rang actuel de 1er grand cru Classé.

Le Châteauneuf-du-Pape Rayas 1990 est un vin en dentelle, puissant et émouvant. Une longueur sublime devant ce vin fumé, poivré aux notes de kirsch.


Un vieux Comté et une découverte du Loir-et-Cher, la cuvée Evidence 2003 de Claude Courtois. Une vendange tardive de Menu Pineau franc de pied, élevé dans un style oxydatif.

Dessert

Une tarte fine aux pommes avec un Cidre Poiré pour clôturer cette soirée en fraîcheur.


Bouteilles grapillées


Vosne Romanée, Les Suchots 2003, Domaine Prieure Roch.

Style inimitable, puissance du millésime, pureté du fruit à attendre encore. Une bouteille très nette d’une grande digestibilité pour le millésime.






CDP, Cuvée des Felix 2000, Domaine Bois de Boursan

Belle robe relativement claire pour un Châteauneuf-du-Pape. Nez marqué au départ par des notes animales, d’étable (réduction), il évolue après une heure de carafe sur des notes de réglisses, de kirsch. J’aime bien mais il faut l’attendre au moins 5 ans.





Saumur, Clos Rougeard Breze 2000.

Superbe d’intensité, nez d’une belle pureté. La bouche est tonique avec une belle acidité. On peut boire et c’est très bon.







Sancerre, Chavignol, Cul de Beaujeu 1995, Gérard Boulay.

Miel, humus, truffe blanche. Grande complexité pour un vin à son apogée. Un grand domaine, trop méconnu.

06 avril 2008

Les coups de coeur du mois



Puligny Montrachet 1999, Domaine Carillon

Un peu léger en bouche, il manque d’acidité et de gras. Agréable mais je reste déçu.





Pessac-Leognan, Haut Brion Blanc 1994

Avec une dominante de sémillon, le vin est une réelle surprise avec sa fraîcheur anisée, miellée, ses notes de pain grillé et son gras en bouche. Sans être exceptionnel, il s’agit d’une bonne bouteille. Je ne suis cependant pas convaincu par un prix proche d’un grand cru bourguignon.




Volnay Santenots 2001, Domaine Roblet Monnot

Un vin dans un style que j’adore, finesse et élégance. Prix parfait autour de 20 euros.

30 mars 2008

Dégustation Tours


Retour à Tours pour une dégustation découverte.
J’ai classé les vins en 3 niveaux :

Les surprises :

Château Carbonnieux 2005 : un nez exotique très mangue, le vin n’est pas marqué par le bois et affiche une acidité en bouche très surprenante pour le millésime (tartrique !!).

Maume, Gevrey Chambertin 1er Cru, Lavaux St Jacques 2004 : nez sublime de rose poivrée, de petits fruits rouges, la bouche est encore austère mais affirme un grand potentiel.

Château Haut Brion 1991 : abouti mais un peu léger, le vin reste néanmoins très agréable.

Les merveilles :

Dauvissat, les Preuses 1995 : millésime inférieur à 1996, le vin est sur les registres classiques d’un grand Chablis. Toujours sublime avec ses notes de pain grillé.

Château Palmer 1980 d’une incroyable jeunesse, millésime inconnu et ici superbe.

Magnum de Château Lynch Bages 1990 : grand Pauillac encore trop jeune tout comme le Pichon Baron 1989.

Les déceptions :

Philippe Pacalet, Gevrey Chambertin 1er Cru la Perrière est bouchonné.
Le Clos des Lambrays 2001 est fermé à ce stade avec des notes animales et de prunelle, dommage.
Le Condrieu, Coteau de Chery 2006 de chez Perret est certainement un vin de gastronomie, en dégustation comparative, il souffre de son alcool et de son gras.

17 février 2008

Philippe Foreau, Millésime 2007


Enthousiasme, Philippe tient avec ses 2007 de très beaux vins (sec et demi-sec). Au niveau des millésimes 2000 et surtout du grand 2002.

J’ai adoré son sec dégusté à la barrique avec moins de 3 g de résiduel. Composé de 4 lots, l’ensemble sera assemblé pour ne faire qu’un dans quelques mois. Le premier lot très typé sauvignon affirme un coté floral et agrumes (pamplemousse), les 3 autres lots évoquent un vin d’une grande minéralité, je me suis cru à chablis en dégustant une Preuse 2006 de chez Dauvissat.

Le clos de Mr Noly à Chaintré


Redécouvrir l’un des plus beaux vins blancs français, le concurrent d’un grand Montrachet. Le clos de Monsieur Noly 1996 rentre parmi mes vins préférés : acidité et fraîcheur de la bouche, longueur phénoménale et un nez fait d’épices, de caramel au beurre, d’agrumes confits …

Le 2004 est aussi de très bon niveau même sur la cuvée simple de Pouilly-Fuissé.